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 Tiers Âge, la chronique sans nom

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Maître Samael
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MessageSujet: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom EmptyDim 22 Juin - 19:53

Cette campagne commença dans la comté, dans un petit hameau. Le groupe était alors composé de Casimir, un chirurgien réputé pour ses talents, d'Enoriel, fils de la haute noblesse elfique qui aspire au calme et la tranquilité, de Zarakaï, nain bagarreur et même pas alcoolique, et un jeune rôdeur. (Oui, mes joueurs aiment relfet d'acide.... et non, celui qui s'appel casimir n'aime pas casimir, mais je lui ai hélas laissé regardé la liste des noms usuels de la renaissance Sad...) Donc cette joyeuse compagne finissait sa beuverie à la taverne du coin lorsuqu'n hobit vint leur demander de retrouver son fiston, qui c'est perdu dans la forêt. "Probablment qu'il cherche le puit de vin magique sous le grand chêne, avec lequel il nous soule depuis qu'il s'est perdu la dernière fois" parce que forcément, le fils c'est déja perdu une fois. Ni une ni deux, notre brave compagnie prend armes et rations, et vole a la rescousse du petit hobbit, dans la foret. C'est après de longues heures de marches arassante dans l'atmosphère moite et nocturne de la vieille foret que notre groupe tomba nez à nez avec une bande de rodeur. Ceux ci se revelent être fort sympatique, et sont à la recherche d'un bois exotique pour leur seigneur qui désire acquérir un nouveau meuble de valeur. Ils nient avoir vu le hobbit. Le groupe continue dans la foret, pépère, et finissent de rattraper le ptit, qui insiste pour leur montrer dans une clairière la fontaine à vin. Le rôdeur l'accompagne alors jusqu'au tertre sur lequel pousse un immense chêne... ils y penetrent et... une nuée de racine les attaques ! car ils sont sous un Huorns, et les jarres dans le tertre contiennent cendres et os, et non pas vin et alcools... le rôdeur est salement touché, et le chirurgien le tire avec le hobbit hors de portée pendant que le nain et l'elfe cmobattent comme des forcenés. Bilan : deux membres du groupe severement touchés. A l'écart, le chirurgien tente vaille que vaille de les soigner, sans problème pour le premier, en provoquant une hémoragie pour le rôdeur. Tout cela c'est bien finit quand même, malgré deux semaine d'alitération (ou plutot deux semaine au lit, alité) pour le rôdeur. Peu de temps après sa remise sur pied, le père hobit souhaite les remercier, et après une fête memorable, ils ont la gueule de bois pendant PLUSIEURS JOURS ! après lesquels le fleuve a coté du hameau commence à s'encombrer de débris : planches, voiles, caisses et tonneaux. Pas de doute, il y a eu un nauffrage. Alors qu'ils aident à récuperer le materiel flottant, le sheriff vient les voirs : deux hommes, apparement des "rôdeurs du roi" l'ont prevenu qu'un navire de pirates orques écumerais le fleuve. Pas bon... les pj sont donc censé remonter le fleuve pour prevenir tout ceux qu'ils croisent en chemin jusqu'au village le plus proche. Ce qu'ils firent de bonne grace, jusqu'a tomber (quelques lieux plus loins) sur trois hobbits qui viennent de repecher un cadavre. Mort suite à ses blessures, trois flèches dans le dos, l'homme provenait du gondor comme le prouve son tabard avec l'abre étoilé. Grace au rodeur et a l'elfe, le groupe remarqua que les armes n'étaient pas orques, mais bien des flèches courement utilisé dans l'est. Bizzare, non ? en rentrant en village en soirée, c'était l'animation dans la taverne ! on venait de retrouver une femme, richement vetu, inanimée sur la berge. Le tavernier s'appretait à lui servir une bouteille d'alcool fort pour la remetre sur pied lorsqu sept hommes, vêtus également aux armes de gondor, se présentèrent. "Nous sommes la garde de la madame" dirent ils, "et nous devons la ramener vaille que vaille au royaume." quand les joueurs demdanèrent des precision, le chef, un homme au port fier et noble, avec une presence assez écrasante, leur expliqua qu'ils étaient les seuls survivant, tout les autres étaient morts ou présumés morts. Mefiant, les pj décidèrent d'accompagner les "gardes", qui accueillirent la proposition avec joie, car 7 hommes arrassés et bléssés et mal équipées, c'est naze. Après une nuit de sommeil, et la princesse toujours pas revenue à elle, l'équipée se mit en marche
(entre temps, le vrai capitaine de la garde a réussi à échapper a la noyade, avec son aide, et après une escarmouche, a réussi à se débarasser des "rodeurs du roi" qui sont en fait des rodeurs de minas morgul, mais il arrive bien après les PJ). Une fois à Bree, les personnages rencontrent un nouveau joueur (en la personne de Jordan...) qui est une elfe qui a été rejeté de chez lui a cause de ses tendances kleptomaniaques. Adenaï est son nom. Après avoir aguiché Enoriel (et s'etre prise un vent), elle invita les pj a dormir. Sauf qu'ils étaient suivit, comme le remaqruère le rodeur et la voleuse. Excellent initiative de la part de la voleuse, au détour d'une rue elle se cacha sous un porche, l'arme à la main, pendant que le reste du groupe continuait d'avancer comme si de rien n'était. Quelque temps après, une silhouette passa au niveau d'adenai, qui l'égorgea proprement. Elle la fouilla : un homme de la "garde". Le reste du groupe tmoba dans un guet appent, et les autres hommes de la "garde royale" leur tombèrent dessus. Cependant, de minables rodeurs de morgul ne font pas le poids face à notre vaillant groupe. Après une nuit blanche à stresser, les joueurs retournèrent à l'auberge, et ô surprise le vrai capitaine était la. La princesse s'étant reveillée, et leur demanda d'aller chercher un nain, un nain chanceux, qui était un hémissaire réputé, en voyage pas loin d'ici, afin qu'il prévienne de l'attaque. Ce que firent les joueurs (ils sont bien dressés). Au cours de leur voyage, ils croisèrent trois hommes de Dun, veillant l'un des leurs grivement blessé. Casimir leur offrit son talent de chirurgien, et en echante ils partagèrent leur feu et leurpitance. VOyant qu'il n'y avait rien à bouffer, les joueurs allèrent également chercher des provisions pour les hommes de Dun et pour eux. Vraiment émus par tant d'aide, les hommes de duns les remercierent et leur offrir leur reconaissance (même pas une pièce d'or !) et repartirent sur leur route le lendemain. D'ailleur les PJ remarquèrent un détail : les hommes de duns avaient dit qu'ils chassaient. hors, ils étaient équipé de haches de batailles, de lances et de boucliers (et d'un arc long pour le blessé)... bizzare non ? Après une petite enquête, les PJ découvrirent que les nains étaient repartis sur la route. Alors qu'ils longeaient le chemin qui était censé les mener a eux, un appel à l'aide retenti.
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MessageSujet: Re: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom EmptyDim 22 Juin - 20:15

Ils s'yprécipitèrent, et ils virent un hobbit tout rouge tellement il a couru, poursuivit par une dizaine de gobelins mené par un orque. Surpris, tous marquèrent une pause. Puis l'orque fut frappé par la flèche d'enoriel et s'effondra. Et la, les gobelins s'enfuirent, quelques un des leurs tombant sous les fleches meurtrières (pas beaucoup, un ou deux, mais c'était pour le style). Grace au hobbit, ils apprirent que les nains et d'autre hobbits et le dernier joueur à rejoindre le groupe, Lancelac (un spadassin qui trempe dans diverse affaires pas toutes nettes, et très galant homme) étaient coincé dans un ancien manoir elfe, assiegé par une "énorme armée d'orques, un millier au moins". Après s'être approché le plus loin possible du camp, mais sufisement près pour voir quand même, il apparut qu'au lieu d'un millier, il n'y avaint en tout et pour tout qu'une soixantaine de rodeur de morgul gooblins et orques. "Mais c'est bizzare, personne n'a donné l'alerte !" pensent les joueurs. Bizzare, non ? les joueurs se dirigent vers le passage secret par lequel est sorti le hobbit, avant d'etre rattrapé par une patrouille. Et d'ailleur, ils trouvèrent la patrouille en chemin. En miette. Un vrai carnage. Ceux qui n'étaient pas mort sous les fleches d'Enoreil étaient morts, pris par surprise. Bizzare, non ? Sans se poser plus de question (ce sont des PJ après tout), ils suivirent le passage secret. Et ils organiserent les defense du lieu contre l'assaut final. Sur le toi, Enoriel joua de l'arc, et les nains jeterent trois enormes bloc de marbres a travers le toi qui écrasèrent pleeeein de méchants. Cool, nan ? Après une fuite eperdue dans les tunnels qui mène au passage secret, les PJ tomberent nez à nez avec un commando de gobelin qui avait egalement trouvé le passage. Alors la, ce fut la pire chose que je vit. Le nain et le rodeur firent barrage, et le rodeur se fit toucher au bras, avant de se prendre la flèche tirée au jugé par enoriel dans le genou, lui brisant net l'os. Le rodeur s'effondra. Le nain manqua sa parade, et se fit décapiter. La ligne se brisa, et casamir, essaya de faire le mort, et de ramper jusqu au rodeur. Il réussit, et commenca a prodiguer ses soins. Il me semble qu'au cours de la bataille, Enoriel fut serieusement touché aussi... mais au dernier moment, les nain arrivèrent à la rescousse par un passage latéral, et masacrèrent les gobelins. Ne pleurant même pas le nain, le groupe continua la sorte. Voyez le joueur qui ne suit pas : Casimir. Il tenta de soigner le nain. Je repete qu'iil était décapité. Tout les orques et gobelin dehors ont été massacré ! Et qui se tient la ? Les hommes de Duns (enfin, tout les orques... une dizaine quoi). Ceux ci reconnaissent le nain, l'émissaire, qu'ils chassaient, et demandent un duel judiciaire. Grace au tact et a la diplomacie employée par Lancelac, le duel n'a pas lieu et le nain verse une somme considérable aux trois hommes en réparation de la sombre affaire... la campagne est beaucoup plus longue, mais après çà tout le groupe ou presque est mort dans une émeute de paysan.
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MessageSujet: Re: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom EmptyDim 22 Juin - 21:43

Et ils se marierent et urent beaucoup d'enfants.... Non je dec, sinon sympa la compagne^^
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MessageSujet: Re: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom EmptyLun 23 Juin - 15:51

Il y a pas mal d'erreur dans ton histoire ...
-si on a pu soigner les barbares faux chasseur c'est graces aux herbes que j'ai trouver
-c'est mon rodeur qui a cougné l'ork avec la flèche dans le talon (donc Benethor et non Enoriel ><)
-le rodeur n'a pas fait barrage dans le tunnel ... c'est le spadassin que mon rodeur a touché par malchance et mis hors combat


NON MAIS OH NE ME RABAISSE PAS ><
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MessageSujet: Re: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom EmptyMar 24 Juin - 13:10

Excuse moi. Ma mémoire n'est plus ce qu'elle était.
L'épisode des plantes me revient. D'ailleur, tu avais pioché un plant de morelle noire, suite à un échec critique (toi ou je sais pas qui), et vous l'avez filé à Casimir.

Pour les incultes, la morelle noire est une variété sauvage d'aubergine, hautement toxique (mortelle après d'atroces convulsions.)
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MessageSujet: Re: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom EmptyMar 24 Juin - 22:07

Non il me semblais que j'en cherchais et suite a un échec critique j'ai trouvé une plante totalement inoffensive et je l'ai donné a Jordan qui voulais faire du poison x)
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MessageSujet: Re: Tiers Âge, la chronique sans nom   Tiers Âge, la chronique sans nom Empty

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