Le combat dans les Ténèbres
0. Introduction.
Dans un monde de souffrance, de haine, de guerre, de rage, et d’autres atrocités. Une unité d’élite, fut créer, une unité, senser changer le monde et le cœur des Hommes. Cette unité s’appeler : Librias Chorus.
1. Les élus
Lieutenant ! On a besoin de vous, vite ! Le lieutenant se leva, tant bien que mal, à cause de ses blessures.
-Qui y’a-t-il soldat ?
-Les armées du roi des ombres arrivent, il faut organiser la défense, sinon tout est perdu !
-Bien, tout le monde a son poste, je serais à la table des officiers dans 2 min.
-Oui, chef !
Le lieutenant, mis le plus vite possible qu’il put son armure d’écaille de dragon noir. Il prit son épée à deux main, gravée de runes magiques, et sortit l’air sombre.
L’armée du Roi des Ombres, était sur eux, ils n’avaient presque aucune chance de survie…aucune.
Il traversa une tour de garde en scrutant l’horizon, un frisson glacial le parcourut, celui de la mort, une gigantesque ombre noire avancer au loin. Il atteignit la tour des officiers pour le combat qui aller se préparer.
Tous avaient l’air anxieux et sombres, le Lieutenant fit son salut et s’assit. Le lieutenant était connu pour sa bravoure, ses plans de combat, son courage, et sa volonté infaillible au combat.
Un des généraux prit la parole :
-Lieutenant que devons nous faire ? Ils sont au moins cent fois plus nombreux que nous !
-Calmez vous général ! Nous ne nous laisserons pas intimidé ! Nous avons étaient entraîner pour sa ! Nous leurs montrerons qu’une poigné de véritables guerrier humain, valent mieux qu’une armée de mort-vivants et d’ombres ! Alors nous nous battrons jusqu’au bout, pas de lâche dans cette armée, je ne les est pas formé moi-même pour rien ! Tous sont prêt a donner leur vie, pour nous, alors soyons digne d’eux, et ne les utilisons pas comme simple pions ; tous sont des êtres vivants et ont autant de chance de survie que nous ! Es que je me fais bien comprendre ?!
Tous avaient remarqué l’absence de respect envers un supérieur, mais aucun ne pouvais le contredire et tous étaient de son avis.
-Bon maintenant écoutez moi bien, nous allons mettre ma tactique en marche.
Il déroula la carte de bataille du château et celle des alentours. Il montra un endroit que personne n’avait jamais remarqué à deux cents mètres du château.
Un genre d’abris souterrain avec un réseau de tunnel allant jusque dans les montagnes.
-Ici nous posterons trois cents soldats ! Ils interviendront par la brèche faites exprès derrière le château.
-Ici cinquante soldats, en désignant les remparts.
-Ici cinq archers, en désignant les cinq tours.
-Vingt cinq soldats dans la cour principale.
-Dix piquiers a la porte.
-Quarante soldats sur le flanc droit.
-Cinquante soldats sur le flanc gauche.
Il finit ses ordres en concluant part :
-Il faut qu’on se dépêche !
-Lieutenant qu’allez vous faire ?
-Les retardés ! Dépêchez-vous !
Tous le regardèrent d’un air complètement ahuri, avant de sortir donner les ordres.
Le lieutenant repris sa lame et sorti de la tour des officiers. Il respira un grand coup, et poussa un rire, sadique et ténébreux puis partit.
Il descendit les escaliers d’un pas lent. Une fois en bas il fit ouvrir la grande porte, et sortit. Il cria l’ordre de refermer les portes. Il avança vers l’armée déchue pour les retarder, autant qu’il pourrait, le temps que son armée soit prête.
Il regarda en arrière, il vit tous ses hommes, qu’il aimait beaucoup, qu’il chérissait autant que si c’était des frères, qu’il n’as jamais eu. D’ailleurs il n’avait jamais eu de famille, sauf ses soldats, qui le comprenait.
Il était seul, prêt à se sacrifier.
Quand il fut à 50 mètres de l’armée, une voix s’éleva de l’armée, faisant taire toute les autres.
-Mortel ! Que viens tu faire ici ?
-Je suis venu vous tuez !
La voix ricana
-Rejoins nous et tu seras l’un des meilleurs guerriers de cette armée.
-Jamais !
-Soit, tel est t’as dernière pensé mortel !
Le lieutenant chargea avant l’armée, il parcouru la distance qui le séparait de l’armée, a une vitesse vertigineuse.
Il y eu un bruit horrible de brisement d’os et de chaire broyé et tranché. Mais c’était des mort-vivant, ils ne connaissaient pas la peur, le combat promettait d’être épique...
Le lieutenant massacrait les morts par groupes entiers, mais ce n’était rien comparé au reste de cet assaut.
La masse se dissouda pour laisser place à une charge de cavalerie d’aberration monstrueuse.
Le lieutenant eu juste le temps de s’aggriper à une lance et faire tomber le cavalier qu’il se reçu une autre lance en plein ventre. Jamais il n’avais vu sa, jamais il ne s’était fait battre aussi facilement, il tomba a genou, en une fraction de seconde, qu’il lui parussent une éternité, il revit tout sa vie défiler depuis le début, tout ce dont il ne se rappeler pas aussi survenu.
-NON !
Murmura t’il, avant de le dire de plus en plus fort, jusqu'à le crier d’une puissance inouïe. Une vague de rage explosa autour de lui. Une rage si puissante qu’elle était devenue matérielle. Les cavaliers et les premières lignes de l’armée furent balayés comme des fétus de paille dans une tornade.
Aria’Thar le démon de la rage était en lui !
-Thiara, ça va ?
Aucune réponse
-Thiara répond moi, je t’en supplie !
Thiara ouvrit les yeux à moitié.
-Thiara, tu es vivante, je suis rassurée.
Thiara, essaya de dire une phrase, mais en vint, elle était trop faible.
Elle entendit juste un dernier bruit d’un groupe elfe qu’elle connaissait bien, s’approchant d’elle, avant de reperdre connaissance.
Quand elle rouvrit les yeux, elle était dans le noir, mais sa vision nocturne se remis en place tout de suite. Elle put donc remarqué qu’elle était dans sa chambre d’enfance. Elle essaya de se lever, mais une douleur foudroyante la plaqua au lit. Elle releva sa chemise de chambre et vit une énorme cicatrice barrant son abdomen. La blessure était profonde, elle mettrait longtemps a guérir, très longtemps … peut-être jamais, se dit-elle. Elle ouvrit la bouche pour appeler quelqu’un, mais ce ne fut pas la peine, sa meilleure amie était là.
-Thiara!!! Je suis heureuse que tu aile beaucoup mieux !
-Que c’est-il passait ? Je ne me souviens plus de rien.
-Tu étais en mission de reconnaissance avec moi et un groupe entier, quand nous sommes tombés sur de sombres voyageurs.
Comme notre devoir consisté à protéger la forêt, nous leur avons demandez, de nous dire qu’ils étaient. Mais c’est a ce moment la que tout a tourner mal.
L’un d’eux nous a dit :
- laisser nous passer ou vous périrez tous
Nous ne lavons pas laisser faire, puisque de toute façon ses intentions étaient mauvaises.
C’est a ce moment la que lui est ses suivants ce sont transformer en démon, tous était des démons normal, sauf lui qui était un des seigneurs démons.
Le combat a duré un moment jusqu'à ce que les renforts arrivent, deux légions entières sont venues à notre secours !
Son amie, marqua un temps de pause, elle voulait pleurer, mais ce repris et continua.
-Tu t’imagines ???
-Heu… oui oui.
-Et donc c’est a ce moment, après avoir tuer ses deux « apprentis », qu’il c’est vraiment énerver. Tu t’es fait jeter au sol, et il t’as empalé avec son épée démoniaque, ton âme était entrain d’être aspirée quand la grande Prêtresse Eluya est venue te libérer en personne et t’imposer sa bénédiction de vie, en se sacrifiant pour toi ! Puis le démon t’a éjecté avec Eluya au loin. Nous avons mis le démon en déroute, et détruit son enveloppe corporel, seul son âme a fuit. Puis nous avons mis trois semaines a vous retrouvez toutes les deux gisantes sur le sol. Eluya était morte, et toi dans un état critique. Et maintenant tu est la, avec nous !
Son amie fondit en larmes, Thiara était horrifié, de ce qui c’était passer trois semaines au par avant. Elle consola tant bien que mal son amie, qui était complètement en larme. Elle lui fit un câlin, et se détacha de son emprise, a contre cœur.
-Ecoute, je dois parler à Eyaluna, notre déesse. S’il te plait, laisse moi un moment.
-D’accord
Son amie sortie, toujours en pleurant, un peu.
Thiara, réussi à se lever par un magnifique effort de volonté.
Elle commença à se mettre en communion avec Eyaluna
La Déesse de la Nuit, des Secrets et des Félins. C’était la déesse majeure des elfes.
Thiara était une demie-elfe, née d’un père humain et d’une mère elfe. Mais à la mort de ses parents, c’est chez les elfes qu’on l’emmena et l’éduqua.
-Oui Thiara, je t’écoute.
-Ô puissante déesse Eyaluna, j’ai des questions à te poser, de hautes importances.
-Oui, je sais de quoi tu veux parler.
-Alors expliquez moi, pourquoi notre grande prêtresse Eluya, c’est sacrifié pour MOI ?!
-Eluya et moi avons eu, une longue discussion te concernant, elle a juré de te protéger au péril de sa vie.
-C’est ce qu’elle a fait ! Mais pourquoi ?
-Nous avons vu en toi un potentiel encore jamais vu chez une elfe ou une demie-elfe normale. Nous avons placé en toi l’espoir de notre race.
-Comment ???
-Thiara je suis désolée, mais je ne puis t’en dire plus.
-S’il vous plait…
-J’ai dit non, désolée, au revoir et veille bien sur toi, tu as notre bénédiction.
-Merci déesse.
Des milliers d’idées grouillées dans la tête de Thiara, mais toutes sans réponses.
Sa blessure lui faisait moins mal, elle décida donc de reprendre sa place au sein des siens.
Quand elle arriva devant la chasseresse en chef, elle lui demanda, si elle pouvait revenir, au combat. Elle brûler d’envies de se venger.
-Oui bien sûr, tu peux revenir, mais en ce moment nos troupes sont prêtes à partir contre une armée du roi des ombres, se dirigeant vers les humains. Nous n’avons pu avertir les humains, mais nous les aiderons, et nous fortifieront notre alliance avec eux.
-J’irais avec eux !
-Tu es sûre ?
-Certaine, je veux me battre pour mon honneur, Eluya, et mes frères et sœur tombés au combat.
-Heu…oui bien, je te prépare t’as monture et ton équipement, comme avant.
Une voix : Thiara, si tu repars au combat je t’offre mon animal de compagnie : Tara.
Thiara vit une immense tigresse des glaces sortir de nulle part.
-Bienvenue Tara, dit-elle, en remerciant Eyaluna.
La chasseresse, rit d’un bon coup
-Hé bien, tu est vraiment une protégée de Eyaluna, bon je vais tout de même chercher une armure, car aucune monture ne remplacera celle de Eyaluna déesse des Félins. Tu verra, en temps que Chef des chasseresses, j’ai eu le droit de la monter, elle a des faculté magique, impressionnantes, a toi de les découvris.
Thiara pris l’armure que lui tendait Arianna, la remercia, mais continuer à scruter Tara, cette superbe tigresse des glaces. Elle était complètement attirée par cette superbe bête puissante et gracieuse.
Elle s’approcha, Tara fit de même, Thiara se baissa et caressa Tara, qui vint a son oreille en murmurant
-Aria’Thar.
Thiara ne comprit pas, le sens de ce nom.
-Aria’Thar, le seigneur démon de la rage.
-Mais que veux tu me dire ?
-C’est lui qui t’as blesser et tué des milliers d’elfe et homme, dont t’es parents.
Thiara, pris un mine sombre et tomba à terre, sa respiration devenait haletante, ses muscles se crispèrent, et son âme crier vengeance. Elle commença à étouffer dans son armure, elle avait besoin de s’évader ; elle finit par pousser un cri strident de détresse et de vengeance.
Des larmes de vengeance coulaient sur son visage fin. Elle se releva, s’approcha de Tara, lui murmura quelques mots, et se mis en selle et partie avec Tara, à une vitesse hallucinante.
-Capitaine Frediark, on a besoin de vous.
Frediark se retourna, l’air sombre
-Qu’y a-t-il ?
-Les troupes de l’armée du roi des ombres attaquent nos alliés guerriers. Nous devons leur porter secours.
-Oui, tu as raison.
-Que faisons nous alors ?
-Envoyez une escouade d’Archi-mage d’Argent, accompagné d’un bataillon de mage.
-Oui chef !
Le soldat reparti.
Et Frediark ricana, il n’était pas encore Archi-mage, mais il pouvait déjà les contrôler comme des soldats.
Frediark avait un tel pouvoir qu’il arrivé a imposer sa volonté à tous, sans qu’on arrive à le contredire ou s’y opposer.
Dans son donjon, les choses s’agitaient, alors il descendit, voir comment les préparatifs de guerre avancés. Il donnait deux ou trois ordres sur le passage, et tout le saluer, de crainte, de respect ou d’amitié ; peu lui importait.
D’un sort de téléportation, il apparu, en haut de la tour des mages, traversa une salle remplit de sentinelle animée qui veillées vingt quatre heure sur vingt quatre.
Puis passa un portail magique, qui l’emmena directement, dans le mess des officiers mages.
C’était une pièce particulière, magique, il y avait une lumière jaunâtre, mais aucune source de lumière, des grimoires de magie, flottaient dans l’air imposant leur odeur à toutes la salle, que Frediark aimé particulièrement.
Il prit place à sa place destinée et trôna royalement sur l’assemblée.
-Bien, je vous ais fait rassembler pour nous unir, nous et nos alliés, contre le roi des ombres.
-Nous savons.
-Certes, mais sachez, que ce n’est pas n’importe quel armée… et nous sommes les seuls à le savoir. C’est pour sa que je n’enverrais que le strict nécessaire et notre élite, pour ne pas subir de grande pertes inutiles.
-Mais, il faut absolument les aider, ce n’est pas suffisant.
-J’ai dit que l’on ferais comme sa, un point c’est tout !
Sa voix était menaçante
-Et si vous tenez temps à les aider, j’irais moi aussi, ou alors allez y vous-même …
Il les scrutait tous d’un air inquiétant et menaçant.
Personne n’osa le contredire.